Retrospective juillet : soleil de plomb
Juillet sous un soleil de plomb. Juillet sans une goutte de pluie
Malgré la chaleur et les températures, un jardin qui résiste et qui fleuri.
Gilles traquant la beauté fugace avant qu'elle ne s'évanouisse.
Et moi reprenant ma quête incessante, visiter un à un mes massifs comme on visite ses malades, guettant les défaillances, n'arrosant que lorsque c'est vital.
Les bêtes sont à la peine, toutes se disputent les points d'eau. Les fleurs aussi sont très courtisées.
La cour devant a perdue de sa superbe. C'est sec, ça grille... pourtant certaines fleurissent encore...
"Monch" est fidèle au rendez-vous et ouvre toujours le premier, le bal des asters.
Une autre valeur sûre, le knautia macedonica, termine lui sa longue floraison.
Un petit nouveau, l'hélénium, nous offre son cœur.
Le massif de la pergola est celui qui résiste le mieux, peuplé de plantes robustes et protégé du soleil une bonne partie de l'après-midi.
Dans le potager aussi ça pousse, les ipomées jouent les belles volubiles...
Dans le massif des arborescents, les sedums sont pour l'instant des faire-valoir, ils attendent patiemment que leur tour vienne.
Le cotinus "Young lady" a adopté le look barbapapa...
Un joli cliché de la prairie début juillet, encore verte, pour se souvenir de sa couleur à l'époque.
et fait écho à celle plus photogénique, des horticoles...
Qu'importe...
A part le fait que nous avons enregistré 11 mmm, en trois fois bien espacées, ce qui réduit considérablement l'efficacité de l'arrosage, j'aurai pu écrire les même mots. A ceci près également que je tiens vos deux rôles, jardinière attentive et photographe, mais pas avec le talent de ton époux. Les photos du cotinus sont de toute beauté. La première photo me fait penser que je ne vois plus un echinacea ressemblant à celle-ci. Quant aux sauvageonnes on ne peut que saluer leur bonne grâce à animer un paysage qui se dessèche. Je salue chaque jour les fleurs de carottes qui ont eu la bonne idée d'animer ma pelouse moribonde. Beaucoup de monde autour des points d'eau et je trouve le matin trace des passages des merles qui grattent là où j'ai arrosé. Bon dimanche. Bises
RépondreSupprimerCoucou Florence,
SupprimerJe tarde à te répondre mais mis a part mis août où nous avons eu un peu d'eau enfin, le scénario reste le même depuis juillet.... sec, sec, sec... et chaud!
La floraison de ce cotinus est fantastique! j'ai découvert depuis peu que mes filles récoltaient les inflorescences vaporeuses pour jouer à fabriquer de faux nids! Ah les coquines!
Chez moi aussi les merles grattent, un peu de trop parfois et je suis obligée de protèger mes nouvelles plantantions pour éviter qu'ils ne me déterrent les mottes.
Bises